Mener une grossesse et poursuivre une sexualité épanouie peuvent tout à fait se conjuguer, y compris jusqu’au terme. Sauf, bien sûr, si votre obstétricien pose des contre-indications. Dans cette belle traversée singulière, vous avez des interrogations relatives à votre sexualité.

Avec vos mots et vos ressentis, je vous accueille dans un espace de libre parole. Mon écoute est active, bienveillante, pragmatique et dénuée de tout jugement.

Je vous accompagne vers votre mieux-être.

Ensemble, grâce à une approche collaborative, nous abordons vos difficultés et vos questionnements. 

J’utilise des thérapies brèves*. Selon vos réactions et votre rythme, je m’adapte et je personnalise des protocoles thérapeutiques. Des professionnels de santé pourront intervenir également, (cf. CGU).

Nous mobilisons vos ressources pour favoriser votre sexualité re(investie) en toute confiance.

Futurs parents :

Vous traversez différentes périodes. Vous, madame, cela va de bouleversements hormonaux, de désagréments peut-être aux transformations physiques. Eventuellement, cela modifie votre libido, selon les trimestres ou durant toute votre gestation, en fonction de chacune. Quant à vous monsieur, cette appétence ou inappétence sexuelle de votre femme impacte, de fait, votre vie intime. Vous pouvez également être en proie à certains questionnements, face à cette nouvelle situation.

• Ainsi certains futurs parents cessent-ils toute relation sexuelle. Ils redoutent particulièrement la pénétration, persuadés qu’ils pourraient mettre le fœtus en danger, blesser le bébé, faire mal à la mère ; idée reçue erronée.
• Certaines femmes investissent tellement leur grossesse qu’elles occultent leur part féminine et leurs désirs.
• Quant aux pères en devenir, il arrive qu’ils voient uniquement dans leur compagne la mère de leur enfant, asexuée donc, durant cette période.
• La sexualité est source de bienfaits physiques, physiologiques et psychologiques ; une absence de sexualité peut donc, selon toute logique, générer des tensions, avec plus ou moins d’intensité selon les individus.

*Les thérapies brèves sont issues des TCC (Thérapies cognito-comportementales). En 2004, elles ont été validées par L’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, sous la double tutelle des Ministères de la Santé et de la Recherche).

Un accompagnement en Sexothérapie ne se substitue ni à un suivi médical, ni à une consultation auprès d’un spécialiste, (cf. CGU).

Vous avez d’autres questions sur votre sexualité durant votre grossesse et sur les méthodes que j’utilise.

Toutes sont intéressantes et peuvent être posées. Je suis à votre disposition. Parlons-en.