Déontologie : Psycho-praticiens en Psychothérapies - Sexothérapeutes - Coachs

Cabinet de Psychologie BrialyUn accompagnement de coaching, une médiation, une collaboration psycho-thérapeutique, un travail sexo-thérapeutique s’inscrivent dans un code de déontologie. Il préserve l’intérêt et le respect des clients et des patients, dans un cadre éthique.

Avec vos mots, je vous reçois dans un espace de libre parole. Selon votre demande. Selon votre temporalité. Je vous y aiderai.

Lors du premier contact :

  • Accueillir mon client ou on patient à titre individuel, ou mes patients en consultation de couple, dans des conditions confortables. Dans le cadre d’une demande émanant d’une entreprise, me déplacer dans leurs locaux s’entend, bien entendu.
  • Ecouter, recueillir les informations, les éléments que mon client ou mon patient souhaite m’exposer. Et prendre en compte l’ensemble de ce qu’il m’a communiqué.
  • Donner à lire la présente Charte déontologique, établie par la fédération et le cas échéant ses annexes.
  • Expliquer clairement à mon client ou à mon patient, selon le cadre et la demande, si j’accepte de le prendre en charge.
  • Exposer, selon le cadre, les modalités du coaching, ou de la médiation, ou de la collaboration psycho-thérapeutique, ou du travail sexo-thérapeutique, individuel ou en couple. Préciser également, selon le cas, les conditions matérielles, contractuelles, de durée, fréquence et montant.
  • Répondre aux éventuelles questions de mon client relatives à un accompagnement de coaching ou de médiation. Répondre aux éventuelles questions de mon patient relatives au déroulement et aux modalités d’une thérapie ou d’une sexo-thérapie, individuelle ou en couple.
  • Egalement, fournir à mon client ou à mon patient, des éléments en termes de compétences dans le domaine du coaching, de la médiation et de la psychothérapie. A savoir ; outils et méthodes utilisées, références théoriques, formations, modalités de contrôle professionnel des pratiques. Et tout ce qui peut témoigner du sérieux de ma pratique.
  • Ne pas nuire. Assister et conseiller. Si j’estime que l’activité de coaching, ou de médiation pour mon client, ou la collaboration de psychothérapie ou le travail de sexothérapie pour mon patient, sont inadaptés, j’en informe mon interlocuteur et je l’accompagne vers un confrère ou un homologue pouvant l’aider.
  • Ne pas utiliser ma position de coach, ni ma fonction thérapeutique pour obtenir de mon client ou de mon patient, quelque avantage que ce soit autre que la rémunération due pour mon travail.
  • Respecter le secret professionnel. Ne révéler à personne le contenu de ce qui m’a été révélé pendant les rendez-vous de coaching, de médiation et les séances de thérapie.
  • Sauf cas suivants.

Consultations :

Lundi à Vendredi : 8 h à 20 h
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Au fil des entrevues de coaching ou de médiation, ou des consultations psycho-thérapeutiques ou sexo-thérapeutiques : 

  • Lors d’une séance de supervision ou de partage entre confrères, je dois veiller à ce que ni mon client ni mon patient  ne puissent être reconnus et demander un engagement de secret à mes confrères et à mes pairs.
  • Si des révélations livrées au cours d’une entrevue de coaching ou des séances de thérapie sont incompatibles avec mon éthique, je dois alors l’indiquer à mon client ou à mon patient.  Je peux, alors, cesser la relation de coaching ou thérapeutique. Je peux, en outre, me considérer comme délivrée de ce secret si je juge que mon client ou mon patient ou des tiers sont en danger, et ce dans les limites fixées par la loi.
  • Prendre en compte les avis du corps médical ainsi que les traitements associés.

Fin du coaching, de la médiation ou de la collaboration psycho-thérapeutique ou sexo-thérapeutique :

  • Finaliser l’accompagnement de coaching, de médiation ou le travail thérapeutique et respecter le désir de mon client ou de mon patient d’y mettre fin. Et, si je le juge utile, je peux, alors, lui indiquer que de mon point de vue, l’accompagnement ou la thérapie n’est pas terminé.
  • Indiquer à mon client ou à mon patient, lorsque c’est le cas, que l’accompagnement de coaching ou la thérapie est terminée. Engager une conversation pour inciter mon ou mon patient à décider de la meilleure façon de terminer cette collaboration. Et lui indiquer que, en cas de besoin, je reste disponible.
  • Ne pas relancer le client ou le patient qui a cessé les séances sans prévenir. Sauf pour manifester de l’intérêt pour sa santé quand un risque est présent. Rappeler le cadre du contrat de coaching ou le périmègre thérapeutique quand la situation exige cette posture. Relancer un impayé.

 

Vous avez des questions spécifiques relatives au Code de déontologie ? Toutes sont intéressantes. Parlons-en.  Je suis à votre disposition